Il plut vingt quatre heures durant et la piste de latérite devint une vraie patinoire.
Nous quittâmes Sen Monorom et nous roulâmes sur 80km de piste bien boueuse, bien tortueuse, avec un chauffeur aussi fortiche du volant, de la pédale que du klaxon, qui n'aurait pas démérité sur une route verglacée et enneigée du Jura ou de l'Auvergne.