A l'occasion des 90 ans de la naissance de Georges et des 30 ans de sa disparition, Alain Guyard dédicace LA ZONZON**, pour laquelle il vient d'obtenir le prix littéraire Georges Brassens 2011.
«Alain Guyard reste un mystère pour lui-même, qu'il n'arrive pas à résoudre en cinq lignes. Occasionnellement, il fait de la philosophie à la ville, dans les prisons et les hôpitaux pshychiatriques, et à la campagne, dans les bergeries et les grottes.»
« et dans les ruches de la cité ».
Juliette Gréco arrive au Parc Georges Brassens; cette année c'est elle la marraine.
Juliette se marre de voir...
... le gamin spectateur de Max Chorier, gagnant du grand prix de la chanson Georges Brassens.
Le monsieur aux cheveux gris en partant de la gauche est Gerhard Kismann, l'ami jardinier, ainsi que tout à fait à droite, Mario Poletti, autre ami de Georges.
**4ème page de couverture de "LA ZONZON";
« Et voilà comment j'étais en train de monter la seule école française de philosophie qui ne recrutait pas des pisse-froid de normaliens ou des agrégés de mes deux, mais de solides castagneurs, des videurs de boîtes à putes et des maquereaux de la côte d'Azur. La faculté n'avait qu'à bien se tenir...
Tremblez, redacteurs de "Philo Magazine" et petits philosophes branleurs qui se la pètent anars et posent en rebelles en lisant du Onfray...
L'hallali de la philosophie confisquée par les bourgeois a sonné !... Bientôt vont débouler sur les champs de course du concept des lascars sans foi ni loi, citant Stirner, Paul Lafargue et Georges Sorel !... »
*En français.