Un joli soir de juillet, Jean Claude et Salat vinrent courageusement m'aider à transhumer en montagne, pas très loin de la maison. Les ruches étaient lourdes et le fourgon chargé n'arriva point à monter le dernier raidillon d'accès au rucher. Du coup, le lendemain à l'aube, je frappais à la porte de Michel qui, au volant de son tracteur, nous tracta jusqu'en haut; le déchargement pouvait commencer. Quelques dards plus tard, tout était terminé, le soleil pointait son nez, les ouvrières partaient butiner et nous allions "petit déjeuner"... des tartines au miel. Super merci à vous trois.
*En mongol.
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