La cité de l'abeille

*Namasté,

  

Comme tous les derniers week-end d'août, dimanche était jour de fête au village.

Une fanfare de la région nantaise avait spécialement fait le déplacement et des gymnastes acrobates de haut vol exécutaient des triples saltos arrières pendant que des parieurs moins jongleurs, attendaient le fameux "loto bouse" des vaches de Laurent, Elodie & Daniel. 

Les turfistes criaient: "bouse à gauche, bouse à droite*, mais non... plus en avant, plus haut, plus fort!" 

Stoïques, nos sacrées vaches ne s'en laissaient pas compter. Ce loto eut tellement de succès que trois manches furent nécessaires pour que la soif des parieurs s'épanche... aux buvettes disposées aux abords de l'arène en damiers.

Trompettes, tubas, soubassophones, tambours, xylophones, danseuses, acrobates, sacrées vaches et sacrés bergers, sous les applaudissements de la foule en liesse et après une sieste estivale bien méritée, rentrèrent à la maison.

*Salut Max! 

  

*En indien.

*bună ziua,

32° est la température qu'il fit à l'ombre des pommiers pendant notre sieste du 20 août, jour où se déroula le marché.

Une majorité de gens préféra faire comme nous et la fréquentation ne fut pas exceptionnelle.

Elle s'améliora le soir, quand les effluves de l'aligot, assaisonné de mélodies tziganes, allèrent  titiller les papilles et les tympans des habitants du comté.

Auparavant, Léa, la transpirante jument, ainsi que Véronique et Annie, conductrices en chef de calèche, organisaient des promenades à travers la campagne viscomtatoise, pendant que de courageux producteurs, bravant ces conditions climatiques estivales, proposaient aux chalands passants, leurs dégustations délicieuses, tandis que le valeureux "Riton" tournicotait sa drôle de manivelle, alors que le vigoureux Jean Paul désaltérait l'assemblée...

"BrinTzig"  nous enchanta;

Delphine, Aurélie & Davy, dans un feu d'artifice tout en fougue et virtuosité, cloturèrent cette soirée aligotée, au son du soufflet à punaises, du violon dingue, des "saxe machine" & de la clarinette Buffet-Crampon.

Un grand merci à tous;  courageux producteurs et artisans, savoureux musiciens, transpirant cheval, délicieux amis, sans qui cette chaleureuse journée, n'aurait pu avoir lieu.

 

*En roumain.

*Päivää,

Quel bel été! 

Hier il faisait 31° dans la tartinerie et comme les abeilles, nous ventilions des ailes pour tempérer notre ruche, avant de profiter de la douce soirée auvergnate, la langue active sur un délice glacé...

Les sorbets fraise sont terminés, mais il reste d'autres parfums pastels pour vous régaler les papilles, vous rafraîchir les lèvres tout en vous colorant la frimousse et les yeux .

Qu'ils soient de rhubarbe, de cassis, de groseille, de pêche ou d'abricot, tous sont fabriqués à la maison et sont composés de miel et de fruits.

Aujourd'hui, c'est jour de marché à la cité, avec des producteurs, des artisans, Véronique et sa jument, Riton la Manivelle, l'Aligot, Brintzig en concert du soir et le soleil, bien entendu.

*En finnois.

*السلام عليكم,

L'abeille dessine des courbes sinueuses au rythme ou elle exsude de sa carapace, les copeaux de cire qu'elle utilise pour composer et rythmer ces arabesques abstraites.

*En arabe.

*Добрый день,

Samedi dernier, nous avions un superbe concert impromptu, joué par six musiciens talentueux, devant un public d'amis venu les applaudir pour une répétition générale, suite à une semaine de vacances/travail, dans la région.

En leur honneur, nous avions préparé l'aligot et la suite du concert fut aussi fort sympathique!

Le dimanche, "le bruit du (sign)" reprenait la route pour de nouvelles aventures.

Un super merci à vous, Théo, Nicolas, les deux Julien, Jeanne & Sébastien, sans oublier Mr Riton* et le "public chéri".

*Riton la Manivelle, joue tous les mercredi & jeudi du mois d'août, ici, courageusement face à son public d'abeilles et c'est grâce à lui que ce concert à eu lieu. 

*En russe.

*Pryvit,

 

L'autre jour, je suis allé payer mes "dettes" à la société des autoroutes, du sud de la France, avec 150 pièces de un centime, soit 4€29 le Kg, madame la marchande.

 

Je voulais ainsi montrer ma désapprobation, face à cette société bénéficiaire qui remplace sans vergogne les gens de sourire et de sang et qui se permet de vous adresser une facture de 1€50, sans excuse, à payer sans délai sous peine de poursuite, lorsque l'une de ces froides quincailleries disfonctionne.

 

Depuis leur privatisation, 4 gares de péage ont été automatisées, supprimant autour de Thiers, le travail de 16 personnes, avec l'aval total du gouvernement qui ment, allègrement sur sa politique en faveur de l'emploi.

 

Heureuse surprise, j'ai rencontré une personne compréhensive, elle-même, désolée de tous ces automatismes inhumains et qui a éclaté de rire quand je lui ai tendue leur enveloppe pleine des 350Gr de cette ferraille à deux balles, accompagnant un courrier, auquel je devrais avoir une réponse.

 

*En ukrainien.

 

*สวัสดีค่ะ, สวัสดีครับ,

Pour la première fois, Gauthier avait enfilé une combinaison blanche immaculée, afin de récolter ce fameux miel tout frais que les abeilles noires venaient d'élaborer, avec le nectar des fleurs de tilleul et de châtaignier. 

Un coup de fumée par ci, un coup de fumée par là, un rayon par ci, un rayon par là, assaisonnés d'un léger juron**; quelques heures plus tard, dard, dard, l' apiculteur masqué avait encore frappé, emportant au nez et à la barbe de ces naïfs du genre Apis, un butin super doré, du côté du genre humain.

**Quand un dard pimenté vient rappeler que l' abeille a le cul piquant.

*En thaïlandais.

*Talofa,

Le week-end dernier, la route des métiers s'est déplacée à Craponne sur Arzon pour faire la fête. 

Sous le soleil exactement, artisans, musées, châteaux, producteurs et créateurs avaient revêtu leurs lunettes noires, pour swinguer au son de la contrebasse, de la  guitare, du tuba et du saxo égaillant les rues du centre ville un peu désert, habité de vitrines "chics" mais fermées, malheureusement à l'image de la plupart des petites villes françaises, en ce début de IIIème millénaire. 

La Fayette avait choisi d'investir l'ancienne boucherie classée de cette bourgade montagnarde du sud non sécessionniste, en compagnie du châtelain de Vollore, président de la route des métiers; Michel Aubert la Fayette lui-même, descendant du général. Clin d'oeil; la ville était décorée de drapeaux américains, en vue du prochain festival de country.

Les visiteurs présents, habitants et vacanciers, charmants, plaisants, siffleurs ou nourisseurs de bébés nous ont fait l'honneur d'assister à nos démonstrations, de participer aux jeux judicieusement animés par Guida et l'on comprend Vincent, un peu déçu du nombre limité de personnes déambulant dans les rues, malgré leur gros travail de préparation.

A dans deux ans, pour la prochaine fête, dans un autre lieu du parc Livradois-Forez.

*En samoan.

*Kalimera,

Alain Guyard est bien arrivé à la cité où il est resté un bon jour au milieu des abeilles, avec lesquelles il a philosophé sur le "cynisme", durant une jolie soirée.

III siècles avant J-C, Diogène fut un philosophe subversif "citoyen du monde", qui refusa les conventions sociales. Il s'attaqua à de nombreuses valeurs de l'agora, défendant la liberté sexuelle et l'égalité des femmes et des hommes, l'indifférence à la sépulture et au sacré, la remise en cause de la cité et de ses lois, la suppression des armes, de la monnaie et des privilèges... Tout en vivant volontairement démuni des choses de la vie, non pas dans un tonneau, mais dans une imposante amphore grecque. 

Sa pensée consista à ne rien posséder, de manière à rester vertueux; "la vertu pour l'homme étant de vivre comme il l'entend, selon sa nature et ses propres désirs, non comme la société le désire, afin de lui permettre de rester libre, de s'épanouir, indépendant et sans compromission, y compris face à un roi". 

Un jour, Alexandre le Grand demanda à Diogène si il désirait quelque chose. 

Oui, répondit-il, " que tu te retires de mon soleil!"

Pour continuer, au cas ou vous jouiez au chouette jeu des milles euros; Diogène fut un disciple d'Antisthène, fondateur de l'école cynique et ses oeuvres ayant disparu, Dion Chrysostome, au Ier siècle après J-C, un peu avant internet, les popularisa...

Depuis, Alain a quitté l'Auvergne pour le festival d'Avignon où il présente trois pièces de théâtre dont il est l'auteur; "Sacco & Venzetti", "Barricades" et "Résister c'est exister". 

Un peu détaché de l'éducation nationale, le reste du temps, il propose ses belles compétences de philo à certaines personnes très attachées, car en résidence, en prison.  

*En grec.

*Bzzz, Bzzz, Bzzz,

Les insectes** et les arachnides sont nos auxiliaires. Ils nous acccompagnent dans nos voyages, dans nos jours et nos nuits, toute notre vie. 

Qu'ils soient mouche, papillon, coléoptère, bourdon ou araignée, tous jouent leur rôle à merveille, en se métamorphosant dans une mise en scène époustouflante, souvent bien cruelle.

Equilibriste, aquarelliste tout en ailes, mandibulaire patibulaire, turbo jet en vadrouille, funambule fileuse de soie, arabesque sur pattes, musicien au clair de la lune, cannibale empoisonneur, danseur du crépuscule. 

La plupart sont transporteurs de pollen, réussissant en réunissant virtuellement des êtres immobiles, à ce qu'à notre tour nous puissions croquer des pommes...

**Avec leur million d'espèces, ils sont les plus nombreux de la planète.

*En insecte.

*Avé,

 

 

 

 

Qu'il est impressionnant ce cerf des bois cuirassé et tout de noir vêtu. Pour autant, aucune abeille n'a été tuée ou blessée par ce lucane mâle complètement inoffensif. La seule chose l'intéressant, étant une larme de miel, quémandée à... la lucarne de la ruche.

 

Le cerf-volant vit pendant plusieurs années sous forme de larve saproxylophage, avant de s'envoler à la rencontre de Mme la coléoptère avec laquelle il finira sa vie, en pince totale, un mois plus tard. Joli sort ou triste sort? That is a philosophical question.

 

Alors un peu de douceur dans ce monde de brute, là où les brutes ne sont pas forcément celles que l'on croit, est une chose bien méritée de la part de ce colosse végétarien si bien carapaçonné, à la langue de velours et qui a pour nom d'artiste, "Lucane cerf-volant".

 

Le lucane cerf-volant est un des plus gros coléoptères d'Europe. Il est protégé et indispensable à la décomposition des arbres morts, ainsi qu'à la gourmandise du geai bleu, vert ou turquoise, du pic cendré ou du pic épeiche, ou de la sittelle torchepot. 

 

Si vous êtes un amateur de "cerf-volant", avec tout mon respect, vous êtes un lucanophile.

*En latin.

*Namasté,

Les architectes bâtisseuses de cités cirées, que sont les abeilles, analysent grâce à leurs antennes, les vibrations de leurs constructions, pour en garantir la régularité hexagonale. 

L'aménagement de l'espace ainsi réalisé, apporte une solidité idéale à leurs alvéoles insonorisées qui leur servent de "placard à tout mettre". 

De la progéniture à la nourriture, tout est parfaitement rangé, numéroté, répertorié, conservé, dans cette maison bioclimatique où pendant l'été, des dizaines de milliers d'individus cohabitent, t'en volutes.

  

*En indien.

*Buongiorno,

Entre deux orages, grisées par les effluves des fleurs d'églantier, les abeilles remplissent leurs corbeilles, tout en se régalant les papilles des pattes, des antennes et de la langue.

*En italien.

*Hello,

Avec Adrien, nous venons de récolter le miel d'acacia dans le rucher de "Manhattan sur Dore"; certaines ruches, avec leurs trois ou quatres hausses ressemblaient à l'Empire State Building...

Quel parfum, quel plaisir et comme cela change du printemps pluvieux de l'an dernier!

Depuis, nous les avons transhumées sur les pâturages fleuris des Monts du Forez.

*En newyorkais.

*Jourbon,

Le patron s'appelle Bruno Jojo, mais son vrai nom est Josépé. Si Josépé a des origines siciliennes, c'est à Belleville qu'il est né et qu'il a grandi jusqu'à aujourd'hui, pour devenir le patron de ce café-restaurant de la rue des Envierges, où Jean Marc & Riton établissent leur quartier d'hiver. Ce sont eux qui, l'été dernier, faisaient les saltimbanques à la cité et c'est au Vieux Belleville, qu'ils m'invitèrent à passer quelques soirées épiques, dans une ambiance du "tonnerre de Brest".

Les ritournelles s'agitent sous les coups de manivelle, pendant que le "piano à bretelles" et que le "soufflet à punaises" respirent et s'étirent avant de se contracter, devant des danseurs en goguette.

D'ailleurs, je profite de cette opportunité pour faire la "retape"; Riton, son orgue et sa douce voix rocailleuse, ont trouvé la "royale" pour l'été, car le mercredi et le jeudi, au mois d'août, ils "posticheront" des "mazarinades", des "libelles", des "bluettes" au milieu des abeilles, espérant ne pas être payés en "monnaie de singe", sans pour autant que votre serviteur, ne se sente obligé de faire le "baron". Pour se faire, la sortie sera "chapelière"......A bientôt pour des précisions.

                                                                               

 

*En verlan.

-Les termes entre guillemets, sont des expressions d'la rue, merci Arnaud.

*As salaamo alykum,

Début mars, la cité de l'abeille et le "professeur bourdon" furent invités dans un collège parisien pour présenter la vie des abeilles, ainsi que le métier d'apiculteur à des élèves de 6ème. Nous avions apporté du matériel;  ruches anciennes et modernes, cadres de cire, cadres de miel, masques de protection, l'enfumoir magique, sans oublier un diaporama maison présentant différentes facettes de notre activité... hexagonale, tels que la floraison auvergnate, le travail de la miellerie, les hyménoptères, l'environnement avec bien évidemment, les fameux bourdons. Cela se termina par une dégustation de miel et de pain d'Apis.

Si vous souhaitez que le "professeur Bourdon" vienne faire son numéro dans votre établissement, que ce soit pour une école primaire, un collège ou un lycée, n'hésitez pas à nous contacter par courriel.

-Un grand merci à Mme Brochard, à Mme Clerc, à Mr François ainsi qu'aux classes de 6ème du collège Thomas Mann, pour cet accueil et pour cette passionnante journée.

*En ourdou.

*Bonjour,

En février, avec l'un de mes frères, nous sommes partis en visite à la Chaud de Fonds, Zwitzerland, là ou bientôt, le secret bancaire ne sera plus qu'un souvenir..., on peut rêver. Cette "ville à la campagne" de 40000 habitants, nichée à 1000 m d'altitude, héberge les plus grandes familles horlogères de la planète. C'est là que sont nés Louis Chevrolet, Charles-Edouard Le Corbusier, Blaise Cendrars. 

Tout comme Barberini, Ré, Zeus, Childéric ou Napoléon**, les chaux-de-fonniers choisirent la ruche et sept abeilles d'or, comme emblème sur les armoiries de la ville. La ruche pour rappeler l'industrie, les abeilles d'or pour la prospérité et le chiffre sept pour le nombre de degrés nécessaires à l'accéssion au titre de "Maître", chez les franc-maçons.

En plus de l'horlogerie, pratiquée par des paysans qui fabriquaient l'hiver, après la traite des vaches, de magnifiques "garde-temps", d'autres activités de haute précision se sont développées dans cette vallée ouvrière; la robotique, l'informatique, la métallurgie fine, le design.

Suite à un incendie, La Chaux-de-Fonds fut reconstruite selon un plan d'urbanisme "en damier", tenant compte de la sécurité, de la salubrité, avec de larges avenues bordées de bas immeuble, afin que chacun ne fasse de l'ombre à son voisin. Depuis, cette ville peut être comparée à une ville américaine, ou à une ville indienne comme Jaipur construite en 1727, déjà sur ce principe progressiste. Des volutes d'Art nouveau ornent certains édifices, qu'ils aient été construits par Le Corbusier, ou par un autre architecte.

Mais il ne faut pas oublier que nous sommes dans les montagnes jurassiennes et que souvent "tombe la neige". Sur la terre ferme comme sur les toits, il faut alors deblayer les flocons, qui comme les glaçons, représentent un risque pour les gens du dessous, marchant courageusement, le regard tourné vers le ciel. Malgré l'activité de "pellage" de neige, les trottoirs verglacés font que les médecins de la ville sont devenus de grands spécialistes... du col du fémur. 

Toutefois, la Chaux-de-Fonds, ne serait pas la Chaux-de-Fonds sans Plonk et replonk qui distillent insidieusement et gaillardement un humour féroce et loufoque.

-Merci à Gérard, pour cette journée chaude-fonnière.

*En suisse romand.

**Respectivement: futur pape, dieu du soleil, dieu du ciel, roi et pour le p'tit dernier; empereur number one. 

*Chào bà, chào cô, chào ông,

Ces temps derniers nous avons quitté l'hiver, pour partir à la rencontre de Mr Tô et du peuple de l'eau, de l'autre côté de la montagne; dans le delta du Mékong, là où des millions de gens vivent sur des maisons flottantes, utilisant les multiples bras et canaux de ce fleuve, pour se déplacer, commercer, travailler**. 

La vie se passe, sur, avec, grâce, autour, dans, l'eau, et si les motos pétaradantes ont envahi les routes de la région, le bateau reste omniprésent, omnibus et indispensable. C'est une civilisation de l'eau...et de la tong***. 

La chaleur aidant, une végétation luxuriante apporte des fruits inconnus; longanes, caramboles, ramboutans, fruits du dragon, oeils de dragon, mangoustans, anones, jaques, durians, pommes étoilées, sans oublier une profusion de légumes, de variétés de riz, de poissons, vendus sur les marchés du delta.

*En vietnamien.

**Pour une meilleure définition, vous pouvez doucement cliquer ou doublecliquer sur l'image.

***La tong remplaçant la chaussure, bien sûr, même si souvent au bout de la jambe, le pied y est nu.

 

 

    

*Sawubona,

Voici un aperçu de ce que l'on trouve au détour des rues pentues de la cité coutellière; des ponts presque gallo-romains, des fleurs dans des jardinières  suspendues, d'anciennes enseignes publicitaires à la police de caractère, des collectionneurs de voitures pompiers, des chaises longues face aux roulés-boulés de la Durolle, sans oublier Louis Charles et sa trop belle carriole à deux chevaux, qui nous fit l'honneur d'habiter Thiers. 

*En zoulou.

 

*Labdien,

 

  

Meilleurs vœux avec ce drôle d'hère solitaire, difficile à rencontrer, car il ne sort de sa tanière, que lors de la pleine lune d'hiver; le ver de lune.

*En letton.